Le chrétien vit par la foi, une espérance vivante dans un riche héritage. Il s’appuie sur Dieu, et non sur ses propres forces.
Le chrétien vit par la foi, une espérance vivante dans un riche héritage. Il s’appuie sur Dieu, et non sur ses propres forces.
Certains thèmes majeurs sont abordés, comme l’élection divine des croyants, la prescience de Dieu, la sanctification de l’Esprit, et l’aspersion du sang de Christ.
Dans cette émission, nous débutons la Première Épître de Pierre avec un survol des thèmes généraux de cet écrit.
Pour le chrétien, la souffrance n’est pas seulement un mauvais moment à passer, mais il est l’instrument de Dieu pour faire parvenir ses enfants à maturité.
Nous sommes devenus des enfants de Dieu lors de notre conversion. Nous devons maintenant devenir des adultes en Jésus-Christ.
Avant la fondation du monde, Dieu, dans son immense amour, avait élaboré son plan pour sauver l’humanité. Comment répondons-nous à cet amour ?
Les privilèges du chrétien sont considérables, si on les compare à ceux des prophètes de l’Ancien Testament. Mais notre responsabilité augmente aussi. Veillez donc à vivre dans la sainteté.
Cette émission porte sur le rôle du mari et de l’épouse dans certaines conditions précises.
Présenter l’autre joue devant l’agression et l’injustice n’est jamais facile. Mais en de telles occasions, nous exprimons notre confiance en Dieu.
Le fait d’appartenir à Jésus-Christ confère au peuple de Dieu un statut particulier : nous sommes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, et un peuple acquis.
Plusieurs questions pratiques sont abordées, comme l’attitude du mari envers sa femme, le comportement chrétien dans l’église, et les privilèges d’un enfant de Dieu.
La vie chrétienne n’est pas toujours facile. Mais elle n’est jamais solitaire, car nous avons toujours avec nous, et en nous, un ami fidèle et un sage conseiller : Jésus-Christ.
Le chrétien ne doit pas s’attendre à gagner un concours de popularité dans le monde. Nous devons faire un choix entre le monde et Celui qui l’a vaincu.
Pour le non-croyant, la souffrance est inutile, et elle doit être évitée à tout prix. Mais il n’en est pas de même pour le croyant. Tout ce que Dieu permet dans notre vie, il le permet pour notre bien.
La souffrance du chrétien est profitable à plusieurs niveaux : elle engendre un esprit de service, d’espérance, d’humilité et de patience.
Le chrétien vit par la foi, une espérance vivante dans un riche héritage. Il s’appuie sur Dieu, et non sur ses propres forces.